La discussion entre E.T.C. et le Président du Syndicat n’a rien apporté de concret.
L’entretien s’est déroulé le mardi 29 mars 2007 de 19h00 à 20h30 à la Mairie d’Orgères.
Etaient présents :
- Pour le Syndicat : Le Président Mr DEIN assisté de Mr TILL.
- Pour l’association E.T.C. Mr, E. LE MAT, Mr, P. BOURGOGNE, Mr, O. LEMOIGNE.
Nous avons remis la copie de notre petition rassemblant les 314 signatures de St-Erblonnais au Président.
Nous avons également remis un courrier de notre association explicitant notre position sur les points de la pétition et le sens profond de notre démarche. Ce courrier contient une demande d’être membre à titre d’observateur du Syndicat. Cela aurait le mérite de permettre aux associations représentatives, telle la notre, d’être au même niveau d’information que les élus.
Le Président en informera le Syndicat et nous répondra sur ce point.
Nous avons insisté sur la nécessité qu’avait de notre point de vue le Syndicat d’informer régulièrement les populations concernées par le projet.
La réponse a été très lapidaire, il semble que ce ne soit pas la priorité du Syndicat qui laisse aux communes le soin de la communication. Nous avons suggéré de créer une ligne budgétaire sur ce point.
Le Président nous a informé que la phase de concertation se poursuivait, il a demandé à la SADIV d’analyser les registres de présentation qui ont été mis à disposition dans les Mairies.
E.T.C. a demandé quelle était l’analyse que le Syndicat portait sur les annotations contenues dans les cahiers, (c’est un des but de notre demande de r.d.v.)En réponse nous avons appris qu’aucune analyse officielle n’a été faite par le Syndicat, il est en attente de celle de la SADIV.
Nous avons malgré tout insisté sur le rôle primordial tenu par les élus dans ce dossier, ce n’est pas la SADIV qui crée la Zac, mais bien les élus des deux communes.
Pour rappel : La SADIV a pour vocation :
- D'être au service des communes et des intercommunalités du Département d'Ille et Vilaine pour les accompagner dans l'élaboration et la réalisation de leurs projets : habitat, équipements publics, zones d'activités....
- D'être l'outil du Département pour le montage et la conduite opérationnelle d'équipements structurants,
- De fournir aux communes, notamment les plus petites, les conseils méthodologiques et l'appui technique permettant de faire démarrer des opérations.
La SADIV n’a pas vocation à prendre les responsabilités à la place des élus.
E.T.C. Sur ce point, nous ne pouvons que déplorer ce manque manifeste de transparence de la part du Syndicat.
Une réunion du Syndicat pour faire la synthèse des doléances se tiendra mi-avril. Nous espérons que d’ici cette date notre demande se traduira par une invitation à cette réunion.
E.T.C. Nous avons demandé quelle était l’orientation du syndicat sur les positions tenues par le Maire de St-Erblon et recueillies samedi dernier ?
Le Président nous a répondu que ; tant que le Syndicat n’avait pas pris de décision officielle rien n’avait changé. Qu’il ne pouvait pas annoncer telle ou telle décision de sa propre initiative, elle ne pouvait avoir lieu qu’après consultation de tous les membres du Syndicat. Il nous a redit que la concertation préalable se poursuivait pour connaître les différentes implantations, que la version présentée publiquement en janvier 2007 n’était plus la version définitive.
En conclusion.
Les élus du syndicat mésestiment la capacité des citoyens à comprendre les enjeux et à agir pour préserver le patrimoine commun.
La manière de diriger le Syndicat dans la plus grande opacité, l’absence de décision en phase avec l’expression des habitants, tendent à éloigner encore un peu plus les élus des citoyens.
St-Erblon le 29 mars 2007.
- D'être l'outil du Département pour le montage et la conduite opérationnelle d'équipements structurants,
- De fournir aux communes, notamment les plus petites, les conseils méthodologiques et l'appui technique permettant de faire démarrer des opérations.
La SADIV n’a pas vocation à prendre les responsabilités à la place des élus.
E.T.C. Sur ce point, nous ne pouvons que déplorer ce manque manifeste de transparence de la part du Syndicat.
Une réunion du Syndicat pour faire la synthèse des doléances se tiendra mi-avril. Nous espérons que d’ici cette date notre demande se traduira par une invitation à cette réunion.
E.T.C. Nous avons demandé quelle était l’orientation du syndicat sur les positions tenues par le Maire de St-Erblon et recueillies samedi dernier ?
Le Président nous a répondu que ; tant que le Syndicat n’avait pas pris de décision officielle rien n’avait changé. Qu’il ne pouvait pas annoncer telle ou telle décision de sa propre initiative, elle ne pouvait avoir lieu qu’après consultation de tous les membres du Syndicat. Il nous a redit que la concertation préalable se poursuivait pour connaître les différentes implantations, que la version présentée publiquement en janvier 2007 n’était plus la version définitive.
En conclusion.
Les élus du syndicat mésestiment la capacité des citoyens à comprendre les enjeux et à agir pour préserver le patrimoine commun.
La manière de diriger le Syndicat dans la plus grande opacité, l’absence de décision en phase avec l’expression des habitants, tendent à éloigner encore un peu plus les élus des citoyens.
St-Erblon le 29 mars 2007.